Un jour sur Terre

Un jour sur Terre

À partir de 6 ans

Un jour sur Terre est un film documentaire de 2007. On présente la terre qui a pu accueillir la vie, on découvre différents paysages avec des animaux. Il y a des effets de ralenti ou des images en accéléré (différents champignons plutôt étranges, ou des nuages ou des aurores boréales qui vont très vite).

MESSAGES

Un message écologique

Notre nature est un miracle, nous devons la préserver. Les animaux peuvent souffrir du réchauffement climatique et de la disparition de l’eau. Activisme. Nous devons être responsables.

Beauté de la nature

Découverte de différents paysages, filmés magnifiquement, en partant du pôle Nord.

Dureté de la vie des animaux

On présente la vie des animaux qui souffrent souvent de la faim, de la soif (des ours, des caribous, des éléphants, des grues, des baleines).

Mort

On nous montre que l’on peut mourir de faim, la mort n’est pas cachée.

SCÈNES DIFFICILES

Il y a beaucoup de paroles dures

« Si elle ne parvient pas à l’atteindre avant que la glace ne se brise toute la famille mourra de faim. », « une marche désespérée pour trouver de l’eau et de la nourriture. » « Un éléphanteau s’est perdu, assoiffé, épuisé, il suit les traces de sa mère, malheureusement dans la mauvaise direction. », « Les grues se heurtent à de fortes turbulences, elles devront faire demi-tour pour échapper à une mort certaine. », « un combat héroïque contre les vents glacés », « la tragédie du chasseur et du chassé », avec un guépard qui, tout en ralenti poursuit une antilope et finit par l’attraper par le cou. On entend parler des animaux en voie de disparition et de ceux qui souffrent de la soif. Une mère pourrait être contrainte d’abandonner son bébé si elle a trop soif. On entend parler des difficultés des animaux pour survivre. On ne voit pas de carnage, la mort est suggérée (un loup arrive à attraper un bébé caribou ou une meute de lions se retrouve accrochée à un éléphant).

Peur

Une scène de nuit avec les éléphants et une musique qui rend encore plus l’ambiance tendue. On nous présente les guépards du monde marin, une sorte d’espadon, avec vitesse et bruit anxiogènes. Si votre enfant avait peur de mettre les pieds dans le lac, il faut lui expliquer la différence. Il y au aussi une scène avec le grand requin blanc en ralenti qui engloutit une otarie hors de l’eau est digne des dents de la mer.

Mort

La fin du film retrouve l’ours que l’on avait rencontré au début. Il est affamé, il tente de s’attaquer à des morses, mais en vain, on le voit mourir de faim. Il est utilisé comme le symbole de ce qui risque d’arriver à notre terre. On le voit seul au milieu de l’océan, voué à la noyade. Les derniers écrits, juste avant le générique nous font craindre le pire pour la suite : c’est à nous d’agir maintenant.

VOCABULAIRE

Une narratrice présente les images. Un dialogue pas trop présent qui laisse la place aux images. Le vocabulaire n’est pas trop complexe.

Un visuel qui peut préserver les plus jeunes, mais cela reste quand même le cri d’alerte d’un monde en détresse et une vision du monde animal qui souffre pour survivre. Un film qui peut être long pour les plus petits, idéal pour être montré en plusieurs fois.

Disneynature nous présente différents documentaires. Les Ailes pourpres : Le Mystère des flamants. Un jour sur Terre. Océans. Pollen. Félins. Chimpanzés. Grizzly. Au royaume des singes. Nés en Chine. Ghost of the Mountains. L’Empereur. Blue. Éléphant.

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