Pororo le petit pingouin est une série en images de synthèse de 2003. Un narrateur introduit l’épisode en expliquant ce qui se passe. Il pourra refaire des commentaires durant l’épisode. Le générique de fin présente les personnages avec leurs courtes caractéristiques.
Les épisodes peuvent se voir indifféremment les uns des autres, même s’il y a un axe temporel (de nouveaux personnages pourront arriver dans la forêt de Porong Porong, il y a des petites suites).
MESSAGES
Jeu
On présente au début de l’épisode des amis qui jouent (cachette, lecture de livre, puzzle, foot, baignade).
Intégration
L’enfant découvre des interactions gentilles entre personnages (l’accueil d’un nouvel ami, lui construire une maison, lui remonter le moral).
Règles de société
Il n’y a pas vraiment de message, c’est surtout une succession d’interactions, mais parfois un contenu comme : ce n’est pas une bonne idée de dessiner n’importe où dans la maison, chanter tout le temps peut déranger les autres, si on apprend à nager on peut apprécier l’eau, jouer trop fort à la bataille de boule de neige peut faire pleurer, il ne faut pas être égoïste, car on risque un jour d’avoir besoin de l’autre.
Invention
Un monde où on peut créer des choses de toutes sortes.
Manchot
Encore un pingouin qui est un manchot.
Mignon
Avec des personnages qui se veulent chou. Apparence. Avec des filles intéressées par leur apparence.
SCÈNES DIFFICILES
Il n’y en a pas vraiment. Parfois il y a un problème avec une construction d’Eddie que les amis doivent fuir ou un petit souci à résoudre, mais cela reste gentil (l’épisode du bateau à voile est un peu stressant, car il glisse à toute vitesse et cela les fait crier).
VOCABULAIRE
Classique, beaucoup de paroles selon les épisodes (saturé de bruitages, musiques et onomatopées) c’est plutôt bruyant. Un narrateur qui a la fonction redondante d’explicitation de l’action.