The Mask, la série animée est une série d’animation de 1995. Rythme effréné quand apparaît le Mask, cela peut partir dans tous les sens. Scénarios plutôt complexes.

MESSAGES

S’affirmer

Besoin de se sentir fort. Le héros est un dominé qui grâce au masque va pouvoir se positionner et résoudre tous les problèmes qu’il subit à chaque épisode.

Aider l’autre

Le Mask lutte contre les vilains bandits pour sauver les honnêtes citoyens. Héroïsme.

Frustration en amour

Difficulté de se trouver une amoureuse. Être sans cesse rejeté ou se faire des films sur ce que les demoiselles peuvent vouloir.

Femme-objet

La gent féminine est surtout intéressante pour la drague. Stanley, nouveau directeur de la banque vantard peut tenter de séduire des demoiselles. Le Mask peut se permettre de vouloir embrasser des demoiselles, il peut être lourd.

Difficulté au travail

Difficile de bien se sentir au travail, le héros est souvent dénigré. Exploitation. Il a un patron qui peut l’exploiter.

Dépendance

Le héros réalise qu’il ne peut plus se passer de son masque, il tente souvent de s’en débarrasser, mais il va le rechercher pour résoudre ses nouveaux problèmes. Toxicomanie. Une problématique de manque ou de besoin proche du besoin de prendre de la drogue.

The Mask, la série animée

The Mask, la série animée

SCÈNES DIFFICILES

Mises en danger

Stanley, le héros adulte de la série, ne cesse d’avoir différents problèmes. (Avoir sa banque attaquée de nuit, se faire taper par un bébé, se faire kidnapper, attaché, risque de se faire couper par une scie circulaire, se faire attaquer par des robots à la hache, avoir une voiture pourrie qui ne fonctionne pas).

Peurs

Méchants dans l’obscurité, avec voix caverneuse. Ombre terrifiante dans la nuit qui s’en prend à un passant. Tête de Frankenstein. Méchant robotisé qui sépare la tête de son corps et qui se meut avec pattes style araignées. Chef de bande avec dents pointues. Foule haineuse. La musique peut être tendue.

Banalisation de la violence

On se moque des personnages, ils risquent des problèmes, et cela pour rire et se moquer de l’autre. Critique de la police. Policier brutal et colérique. On nous le montre comme la personne qui pourrait embêter le héros, mais qui se fait avoir à chaque fois.

Moquerie

On se moque de tout. Du maire égocentrique, de la concierge hystérique, du patron imbu de lui-même, du psychiatre qui ne saisit pas vraiment la réalité. Journaliste surtout intéressée par ses scoops. Des gros.

VOCABULAIRE

Classique, il peut y avoir du langage jeune (ma meuf, gros lard, bouffe, falzar, la vioque).

Ce n’est pas vraiment moral et adapté aux plus jeunes, il n’y a pas un adulte auquel on pourra s’identifier, ils sont soit stupides, méchants, insignifiants, c’est le chien qui est le plus sympathique. Un animé qui nous permet de rire en nous moquant des choses. Inspiré du premier film. Beaucoup de gags que les plus vieux comprendront (Toutencaleçon, imitation de Montant, le côté obscur de Star Wars).

Partager cette page :

 

Vous pouvez nous soutenir sur Tipeee !