Les Belles Histoires du père Castor est une série d’animation de 1993. Histoires qui commencent toujours une introduction du père castor qui sera ensuite le narrateur, facilitant la compréhension de ce qui est vu en même temps. Les dessins sont inégaux.
MESSAGES
Importance de l’histoire racontée
Un vieux monsieur qui raconte une histoire aux petits enfants. Revalorisation du livre, de l’écoute.
Ouverture sur l’autre
Les contes proviennent du monde entier, une approche des cultures d’autres pays.
Contes avec morales
Histoires parfois complexes pour les plus petits (ne pas arnaquer la petite souris, abus de voeux, ne pas frimer sur son papa). Règles de société.
SCÈNES DIFFICILES
Petites tensions
De risquer de se faire mal avec le fil de fer barbelé à de plus grosses tensions (avec une panthère noire qui mange plein d’animaux et qui va se faire poursuivre par des humains avec fusils).
VOCABULAIRE
Pas toujours simple, varie en fonction des histoires.
Les épisodes varient en qualité et en contenu, il y a des histoires qui peuvent être vues par des petits, d’autres non, mieux vaut les regarder avant.
Ce que disent les autres. Le petit écran des enfants. Jean-Pierre Carrier et Christian Gautelier. Actes Sud Junior Education 2000. P.109. « Dans les histoires du Père Castor, la mise en scène télévisuelle de la fiction s’organise autour de trois instances, pouvant apparaître successivement à l’image et/ou dans la bande-son. – Le personnage du conteur : lorsqu’il intervient, c’est toujours de façon narrative, pour préparer le déroulement de l’histoire, pour la ponctuer et pour la conclure. Ses interventions parlées peuvent donc être soit extérieures aux images de l’histoire, soit collées sur elles pour dire autrement ce que les images racontent. – Les auditeurs de l’histoire : ceux présents à l’image renvoyant bien sûr aux téléspectateurs devant leur poste, parfaitement muets quand les images nous donnent à voir l’histoire elle-même, constituent le centre de la fiction, nous présentant pourquoi et comment le conte est conté. – Les personnages du conte eux-mêmes : ils se présentent comme dans tout autre récit en images, mais ne sont jamais donnés ici comme autre chose que les personnages d’une histoire racontée et donc inventée pour cela.«