La Planète blanche est un documentaire de 2006. Le narrateur joue le rôle du réalisateur, il présente ce qu’il a filmé en laissant beaucoup parler les images. Même si le film semble être une succession de différentes scènes avec des animaux, il suit une trame temporelle. On retrouvera des animaux vus dans de précédentes scènes sur une année.
MESSAGES
Découverte de l’Arctique
Avec de nombreux animaux, ours, renards, phoques, caribous, narvals, baleines boréales, guillemots, morses, boeufs musqués, mais aussi la glace.
Nature
On verra des scènes autour de la nature (glace qui bouge, la banquise disloquée. Le soleil fait apparaître des algues et animaux microscopiques, et l’herbe. Un environnement avec deux saisons).
Animaux
On nous montre une foule de petites scènes d’animaux sans s’appesantir sur la chose. On s’arrête un peu plus sur les caribous ou les ours qui font un léger fil conducteur entre toutes ces découvertes. On prend conscience du temps qui passe. Impressionnantes images volées de la maman ours avec son bébé, on ressent une impression de câlin. On voit différents bébés mignons. Parfois d’étranges images sous-marines, avec des animaux unicellulaires ou un banc de bélugas accompagné d’une musique à la Björk. Une pieuvre géante, rouge en contraste avec le noir autour d’elle.
Message écologique
Ce sera dans les dernières minutes du film que l’on parle du réchauffement du climat et du risque que la banquise disparaisse en été. On nous montre l’ours blanc avec la glace qui fond sous son poids. Une petite mise en garde autour des glaces du Groenland, sources d’eau douce, indispensables à la planète.
SCÈNES DIFFICILES
Petites tensions
Tentative pour une oursonne d’attaquer un bébé phoque, musique tendue. Elle parviendra à attraper une autre proie, et même si on ne voit pas grand-chose, on voit le sang sur la face des ours.
Les animaux risquent parfois leur vie
On nous dit que la baleine boréale risque la noyade si elle ne trouve pas une issue à l’air libre, on voit de jeunes caribous traverser une rivière et on a peur qu’ils se fassent emporter par le courant. Les dernières images, avec l’ours blanc qui rampe sur une banquise fondant sous son poids.
VOCABULAIRE
Peu de paroles, facile d’accès. Musique contemplative (en dehors des quelques instants tendus, souvent liés à la chasse), avec des moments de chant.