Fly Me to the Moon

Fly Me to the Moon

À partir de 6 ans

Fly Me to the Moon est un film en 3D de 2008, en images de synthèse. L’animation en synthèse est de piètre qualité. Les personnages sont moins bien réalisés que les décors; les mouvements sont lents et tout est stylisé, les humains sont très statiques. Les mouches ont presque toutes la même tête (au point que la vieille copine du grand-père ne fait pas son âge et c’est assez bizarre).

MESSAGES

Réaliser son rêve

On peut tous arriver à ce que l’on veut.

Histoire spatiale

La découverte de l’historique mission d’Appolo 11, vue par des mouches.

Protection parentale

Contraste entre la protection des parents, leur inquiétude et le besoin d’aventure, de rêver. Lien petit-fils et grand-père.

Il faut se battre contre les méchants

Unité de la communauté contre les méchants Soviétiques. Combattre.

Américanisme primaire

Les méchants arrivent au milieu du film, ce sont les Soviets, de méchantes mouches russes des années 60, laids, gros et avec un accent à couper au couteau. Scénario manichéen, entre les bons Américains et les méchants Russes, on pensait avoir dépassé ça. Nationalisme.

Fly Me to the Moon

Fly Me to the Moon

SCÈNES DIFFICILES

Mises en danger

Tension quand deux des mouches risquent de rester dans le module lunaire. Combat avec le méchant qui attaque avec des allumettes et qui risque d’envoyer le grand-père dans un ventilateur. Effet de surprise juste pour faire sursauter quand un chien aboie contre la boîte.

Visuel effrayant

La méchante mouche russe à dents pointues. Les effets 3D. Impressionnant pour les plus petits, et l’éternel gros doigt qui s’avance sur le public.

Tristesse

Quand on les croit les mouches perdues

VOCABULAIRE

Il y a de la musique classique pour accompagner les scènes dans l’espace (façon « 2001 l’Odyssée »). Dialogue plutôt classique, mais les doubleurs ne sont pas vraiment convainquant et font plus penser à un épisode d’une série qu’à un long métrage de cinéma.

Un humour qui tourne autour de quelques allusions « drague » plutôt mal placées, d’un effet de rot pour faire avancer un scaphandre, un petit pet pour se décoincer, ou de héros stéréotypés (le petit gros gourmand, l’intellectuel à lunettes et l’aventurier téméraire), une mère qui tombe dans les pommes puis qui envoie ses asticots au combat. On suit en parallèle Appolo 11, la famille des petites mouches et les méchants Russes. Scénario pas vraiment simple pour les plus petits, sans être assez stimulant pour les plus grands On gardera surtout de ce film l’histoire d’Appolo 11.

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