Bernard, l’our polaire, est une série en images de synthèse basiques de 2006, à petit budget. Les différents épisodes n’ont aucun lien les uns avec les autres. L’environnement change aussi à chaque épisode. Un faux air de série pour tout petit.
MESSAGES
Il n’y a pas vraiment de message en dehors du comique de situation. Il arrive des choses à Bernard qui ne maîtrise par grand-chose. Il ne faut pas chercher à y trouver de bonnes valeurs profitables à l’enfant, l’ours est plutôt bête et agressif.
SCÈNES DIFFICILES
Mises en danger
Les épisodes ne sont pas tous égaux dans la tension : squelettes, parodie d’Indiana Jones, ou invasion de cafards, peuvent succéder au bord de plage tranquille. On ne sait pas à quoi s’attendre avec ces épisodes. Pour un petit, il serait plus utile de vérifier celui qui est vu. Fin douloureuse. L’épisode se termine souvent mal pour Bernard qui se défend face à un environnement hostile tout le long de l’épisode et qui perd à la fin.
Banalisation de la violence
Les gags se font facilement autour des coups et des chutes qui font mal et rire. Un lézard à lunettes de soleil peut parfois jouer le rôle de l’agressif.
VOCABULAIRE
Sans paroles, avec une bande-son qui accompagne les gags et le visuel.