Aladdin 3 : Aladdin et le Roi des voleurs est le film de 1996, qui clôt la série. Rythme rapide, surtout quand le génie est concerné. On retrouve à la fin du film le personnage qui introduisait l’histoire dans le premier opus.
MESSAGES
Créer une famille
Crainte de fonder une famille, de se marier, avoir peur de ne pas être à la hauteur.
Quête identitaire
Recherche de ses origines, recherche du père. Ici le héros ne va pas dans ses traces, mais va plutôt réussir à le ramener dans la bonne voie, lui qui était hors la loi et obnubilé par la richesse.
Importance de la famille
Critique du parent qui est trop obnubilé par ses projets et qui en oublie sa famille, son fils.
Femme dynamique
On peut louer la patience de Jasmine, et sa grande mansuétude. Heureusement qu’une scène de combat nous la dévoile de nouveau active, elle se défend bien contre le voleur.
Importance de croire en l’autre
Lui donner sa chance, espérer qu’il puisse encore changer, lui pardonner.
Appât du gain
Critique de ceux qui sont obnubilés par l’argent (d’ailleurs le méchant va mourir, transformé en statue d’or). Cupidité.
Ne pas dépasser des limites
Même quand on est un scélérat ou un voleur, il faut avoir conscience des limites qu’il ne faut pas franchir (crime, être cruel sans remords).
SCÈNES DIFFICILES
Mises en danger
Une nouvelle brochette de bandits, avec Ali Baba et les 40 voleurs. La griffe de Sa’luk et leur repère, un combat « à mort » avec Aladdin et des effets de tonnerre.
Tristesse
La fausse mort de Sa’luk qui tombe d’une falaise. Et qui ressort de l’eau en se battant contre des requins. La capture du père d’Aladdin qui a voulu voler le sultan. Le mensonge d’Aladdin qui a voulu cacher le fait que son père était le roi des voleurs.
Rapide
Des moments chantés qui seront difficiles à suivre pour les enfants (sans aucune violence, mais rapides).