Émilie est une série de 2013 en images de synthèse qui a un style très rond et doux. On va découvrir beaucoup de personnages différents, entre la famille et les amis, il y a beaucoup de noms différents.
MESSAGES
Relation. Importance du contact avec les autres
Chaque épisode nous montre une activité différente à réaliser soit avec des enfants de la famille, des camarades à la petite école ou des moments relationnels.
Jeux
Les enfants sont souvent à jouer (faire du cerf-volant, planter des oignons de fleurs, cache-cache, parcours de sport, faire de la danse, boite à meuh, jouer à être un animal. Ne pas attraper les papillons, les faire soi-même. Mettre des fleurs en pot. Bien jouer avec un bébé). On peut critiquer jouer à la bagarre (et ce sont plutôt certains garçons qui aiment ça).
Jeux symboliques
Les enfants jouent à faire semblant, faire comme si. Revalorisation de l’imagination, se prendre pour des animaux, s’inventer un environnement, créer des animaux avec des cailloux, jouer à la princesse.
Bons sentiments
Montrer que l’on apprécie l’autre. Souvent des rires, de la complicité. S’il devait y avoir un petit problème, on a toujours un pair pour nous aider.
Émotions
On peut voir Émilie fâchée, parce qu’elle n’est pas bien réveillée. Se sentir mal aimé, mais voir que les autres nous aiment bien quand on n’est pas méchant ou ronchon. Avoir un problème avec son amie « T’es plus ma copine », et se retrouver. Joie de découvrir de belles choses, de s’amuser.
Famille
Fratrie, on voit Émilie avoir des interactions avec sa toute petite sur et son grand frère (gentil et responsable), mais il peut aussi y avoir ses quatre cousins (dont Nicolas, un petit bagarreur).
Autonomie
Les parents ne sont pas présents dans cette série, les enfants vivent leurs jeux entre eux et c’est Stephane, le grand frère qui est la voix de la raison.
Animal de compagnie
Arthur, un petit hérisson est souvent autour d’Émilie. Respect de l’animal, que l’on n’embête pas, que l’on peut aider.
SCÈNES DIFFICILES
Il n’y en a pas.
VOCABULAIRE
Simple d’accès.