Boris est une série de 2003 en 2D numérique. Bizarre générique où l’on voit Boris tomber (c’est en fait un rêve). Il peut y avoir des ellipses. Un dessin stylisé propre au dessinateur Mathis, on est presque plus dans de l’underground que du kawaii.
MESSAGES
Importance du jeu
Boris s’amuse et s’occupe avec ses jouets ou des activités proposées par ses parents (jouer à cache-cache, planter des choses avec papa). Il apprend à compter jusqu’à quatre. Imagination. Boris joue avec des choses qu’il imagine animées (ses jouets parlent).
Impulsivité
Petit garçon toujours en action qui s’amuse fort avec ses jouets, il leur fait presque peur, c’est lui le chef (pourtant ils sont bien plus raisonnables que leur petit maître). Petit enfant qui aime bien les bêtises, têtu, tyrannique, colérique, espiègle, mais sympathique, il aime jouer à la bagarre, au pistolet, on voit comme il prend beaucoup de place. Une maîtresse qui doit toujours demander du silence au petit Boris. Éducation. Boris apprend avec ses parents. Se décentrer. Le petit garçon doit apprendre à se décentrer, être un peu moins égoïste et turbulent.
Importance de l’affectivité.
Importance de recevoir des bisous. Parents aimants. On les voit jouer avec leur enfant, bien s’en occuper. Besoin de recevoir des choses gentilles et positives pour grandir.
Explication
Les scénarios ont de bons prétextes pour expliquer des choses, soit à Boris, soit aux jouets. On nous montre les compréhensions décalées de Boris sur les choses. Moment de vie d’un enfant. L’anniversaire. Noël. Commencer l’école. Choisir le papier peint de sa chambre. Avoir peur la nuit.
Estime de soi.
Boris est à l’aise avec lui-même. L’enfant peut comprendre qu’avec une grosse moque au nez les parents ont moins envie de faire un câlin.
SCÈNES DIFFICILES
Il n’y en a pas.
VOCABULAIRE
Classique.